Punaise verte

Palomena prasina (Linnaeus, 1760)

Classe : Hexapoda Ordre : Hemiptera Famille : Pentatomidae Sous-Famille : Pentatominae Tribu : Carpocorini Genre : Palomena
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    observations

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    communes

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    observateurs

  • Première observation
    2019

  • Dernière observation
    2024
Brook Shamgar - Cretin Sylvain - Dumont Nicolas - Giffon Pierre - Leblanc Olivier - Louvel Thiery - N'diaye Soukeyna - Seguinel Louise - Thevenin Simon

Informations espèce

Taille : 11,5 – 15,5 mm

Diagnose :
Grande punaise entièrement verte sur sa face dorsale. Partie membraneuse des ailes sombre. Articles IV et V des antennes rougeâtres et articles II et III de même taille. Bords antéro-latéraux du pronotum rectilignes ou un peu concaves et souvent soulignés d’un trait rouge orangé.

Détermination : Moyennement difficile.

Espèces proches :
Elle est facile à distinguer des autres punaises vertes qui ont l’extrémité du scutellum blanche ou jaune ou les membranes des ailes transparentes. De plus,
N. viridula a 3 petites taches blanches sur le bord antérieur du scutellum. Par contre, P. prasina est très proche de Palomena viridissima qui a les articles II des antennes deux fois plus long que les III, et les bords antéro-latéraux du pronotum très convexes.

Période d’observation : Avril à octobre avec un pic principal en aout.

Biologie-éthologie :
Espèce polyphage vivant sur plus d’une centaine d’espèces d’arbres feuillus comme les aubépines, bouleaux, chênes, érables, frênes, noisetier, prunus, tilleuls, et diverses plantes comme les berces, cirses, clématites, liserons, mercuriales, orties, ou ronces. Les adultes rentrent dans les habitations pour hiberner, ils deviennent brunâtres ou rougeâtres en automne pour passer l’hiver, et retrouvent leur couleur verte au printemps après hibernation.

Biogéographie et écologie :
Espèce eurosibérienne, répandue jusqu’à 63° de latitude nord et à travers l’Asie centrale jusqu’en Sibérie. On la trouve jusqu’à 1 900 m d’altitude. Dans les milieux boisés, bords des rivières, landes, prairies bocagères, prés secs ou humides, parcs et jardins, vergers et abords des cultures. C’est une espèce très commune, mais on observe le plus souvent que des individus isolés.

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Cimex prasinus Linnaeus, 1760 |

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