Bergeronnette des ruisseaux
Motacilla cinerea Tunstall, 1771
- 11 301 observations
-
114
communes -
789
observateurs -
Première observation
1976 -
Dernière observation
2024
Aix-en-Provence - Allauch - Alleins - Arles - Aubagne - Aureille - Auriol - Barbentane - Beaurecueil - Berre-l'Étang - Bouc-Bel-Air - Boulbon - Cabannes - Cabriès - Carnoux-en-Provence - Carry-le-Rouet - Cassis - Ceyreste - Charleval - Châteauneuf-le-Rouge - Châteauneuf-les-Martigues - Châteaurenard - Cornillon-Confoux - Coudoux - Cuges-les-Pins - Éguilles - Ensuès-la-Redonne - Eygalières - Eyguières - Eyragues - Fontvieille - Fos-sur-Mer - Fuveau - Gardanne - Gémenos - Gignac-la-Nerthe - Grans - Graveson - Gréasque - Istres - Jouques - La Barben - La Bouilladisse - La Ciotat - Lamanon - Lambesc - Lançon-Provence - La Penne-sur-Huveaune - La Roque-d'Anthéron - Le Puy-Sainte-Réparade - Le Rove - Les Baux-de-Provence - Les Pennes-Mirabeau - Le Tholonet - Maillane - Mallemort - Marignane - Marseille - Martigues - Mas-Blanc-des-Alpilles - Maussane-les-Alpilles - Meyrargues - Meyreuil - Mimet - Miramas - Mollégès - Mouriès - Noves - Orgon - Paradou - Pélissanne - Peynier - Peypin - Peyrolles-en-Provence - Plan-de-Cuques - Plan-d'Orgon - Port-de-Bouc - Port-Saint-Louis-du-Rhône - Puyloubier - Rognac - Rognes - Rognonas - Roquefort-la-Bédoule - Roquevaire - Rousset - Saint-Andiol - Saint-Antonin-sur-Bayon - Saint-Cannat - Saint-Chamas - Saintes-Maries-de-la-Mer - Saint-Estève-Janson - Saint-Étienne-du-Grès - Saint-Marc-Jaumegarde - Saint-Martin-de-Crau - Saint-Mitre-les-Remparts - Saint-Paul-lès-Durance - Saint-Pierre-de-Mézoargues - Saint-Rémy-de-Provence - Saint-Savournin - Saint-Victoret - Salon-de-Provence - Sausset-les-Pins - Sénas - Septèmes-les-Vallons - Simiane-Collongue - Tarascon - Trets - Vauvenargues - Velaux - Venelles - Ventabren - Vernègues - Verquières - Vitrolles
Informations espèce
C’est un oiseau typique des rivières et des ruisseaux, préférentiellement en montagne ou en terrain accidenté mais que l’on peut trouver également en plaine.
La Bergeronnette des ruisseaux se nourrit de larves d’insectes aquatiques, parfois aussi d’insectes volants qu’elle capture au cours de brèves poursuites aériennes.
Migratrice partielle, elle peut être observée en automne ou en hiver en des lieux où elle ne niche pas. La saison de nidification commence dès le mois de mars, au moins pour les populations de plaine, et peut se prolonger jusqu’en juillet ce qui autorise deux voire exceptionnellement trois nichées par an. Le chant du mâle est un gazouillis varié qui peut être émis lors d’un vol nuptial. Le cri le plus courant est un « tsip » aux sonorités plus métalliques que celui de la Bergeronnette grise.
Le nid est édifié sur la berge ou à proximité de l’eau courante, assez régulièrement dans une habitation, un vieux mur ou sous un pont. La ponte comprend 4 à 6 œufs, couvés essentiellement par la femelle. Les oisillons éclosent au bout d’une douzaine de jours, et sont activement nourris par les deux parents. Ils prennent leur envol en moins de deux semaines, mais l’élevage se poursuit ensuite à proximité du nid.